enfonce les loin oui encule moi bien, oui celui dans le cul enfonce le plus loin ooooh! oui comme ça
Et Hélène de continuer de plus belle. J'en peu plus je vais exploser. Hélène semble le sentir puisqu'elle s'arrête sans avertissement.
- ooooh! continu svp continu je vais jouir
- non pas maintenant, fais-moi confiance cela sera meilleur tout à l'heure pour l'instant je n'ai pas fini avec toi.
Elle sort les vibrateurs de leur orifice et m'enfonce dans l'anus cinq boules de la grosseur d'une grosse bille qui sont reliées ensemble par une corde. Cette nouvelle sensation est très excitante. Ces boules sont prisonnières de mon anus il m'est impossible de les retirer en utilisant uniquement mes muscles anaux. Je les sens qui bougent dans mon cul.
- humm! j'aime la sensation de ces petites boules
Hélène me détache les mains
- allez debout maintenant
Je la vois nue pour la première fois de la journée. Elle est plus belle encore que dans les douches. Je vois ses mamelons gonflés de plaisir. J'ai une folle envie de les saisir. Je les regarde avec jalousie.
- alors comment me trouves-tu de si proche. C'est mieux que de loin comme par exemple de dans les douches humm!. Et oui ça fait déjà un moment que j'avais remarqué que tu me regardais avec désir. Et à voir tes yeux aujourd'hui pleins d'envie, je pense que tu n'es pas déçue.
J'approche ma main pour lui saisir un sein
- c'est moi qui commande ici tu me caresseras lorsque je te le demanderais, attends moi, je reviens
Elle revient cinq minutes plus tard avec un pot de crème fouettée sous pression.
- attends tu vas manger un bon déssert
Hélène commence à étendre de la crème fouettée sur ses aréoles, sur sa vulve et sur son cul.
- viens manger ton dessert allez viens. Commence par mes seins
Enfin je vais pouvoir y toucher, j'approche ma bouche de ses mamelons tendus de plaisir. Je commence à lecher la crème à m'appliquant particulièrement à ses aréoles.
- comme tu lèches bien oui continue
C'est la première fois que j'ai l'occasion de sucer les mamelons d'une autre femme. La sensation est merveilleuse. Je sens ses mamelons gonflés dans ma bouche. Je les lèche, les mord, les étire. Hélène semble très apprécier - oui lèche moi oui comme ça je sens que je mouille aaaah! c'est bon. Oui tire sur mes mamelons oui aaaah! Lèche mon con maintenant allez lèche le. J'approche ma bouche du clitoris d'Hélène. Il est gonflé de plaisir, il m'attire. Je le saisis dans ma bouche et commence à le sucer comme ci c'était un suçon. Je sens sur mon visage la mouille d'Hélène - comme c'est bon tu suces bien ma salope allez suce mon gros clitoris aaaaah! oui... oui... aaaah! Rentre ta langue dans mon vagin Je lèche Hélène jusqu'à l'entré de son vagin. Je m'applique à lecher ses petites lèvres. Puis j'enfonce ma langue le plus loin possible dans le vagin d'Hélène. Elle pousse un long gémissement de plaisir. -aaaaah! oooooh! oui c'est bon, continu lèche loin c'est meilleur Je m'applique à bien lui lécher le fond du vagin. J'ai plein de mouille d'Hélène sur la figure. Hélène recommence à me fouetter avec la cravache. Elle s'applique à fouetter mon cul dans lequel se trouve toujours les petites boules. Je mouille comme une fontaine - continue à fouetter oui continue je vais jouir aaaaah! A chaque coup de fouet ma langue s'enfonce dans le vagin d'Hélène. Elle pousse des gémissements - aaah! oui aaaah oooh! lèche moi l'anus fais moi jouir en léchant mon anus J'ai un haut le coeur en entendant la demande d'Hélène. Je me rappelle ma mère en train de lecher le cul de Sandra. Hélène me presse en me fouettant avec plus de vigueur - lèche moi le cul allez plus vite J'approche mon visage de l'anus d'Hélène. Je vois son anus frémir de plaisir. Il se contracte et se décontracte en ayant l'air de dire viens lèche moi. Je passe par dessus mon dédain et approche ma langue de l'anus d'Hélène. Je commence par lecher de loin mais voyant le plaisir d'Hélène je commence à lecher à pleine bouche ce petit trou de plaisir. - tu sembles aimer ça ma belle salope lecher mon cul Je passe ma langue sur les muscles anaux. A chaque coup je les sens se contracter ce qui à pour effet de faire gémir de plaisir Hélène. - enfonce ta langue dans mon cul enfonce la bien loin fais moi jouir J'enfonce ma langue dans ce petit trou noir. Je sens les muscles se décontracter pour me faciliter le passage. J'en profite pour enfoncer ma langue le plus loin que je peux. - oui aaaah! enfonce bien ta langue aaaaah! ooooooh! t'aime ça me lecher le cul. Maintenant, on vas jouir ensemble Elle se dirige vers un tiroir et en sort un long et gros pénis de plastic d'environ 15" - étends-toi sur le lit J'obéis. Hélène se met en face de moi et enfonce une extrémité de ce gros pénis dans mon vagin, tandis qu'elle enfonce l'autre extrémité dans le sien. - oui c'est bon enfonce le loin - approche ton clitoris du mien J'approche mon clitoris et Hélène commence à frotter son clitoris sur le mien tout en se branlant avec le pénis. Je saisis l'autre extrémité et commence moi aussi à me branler. La sensation du clitoris d'Hélène sur le mien mélangé à la sensation de la pénétration est extraordinaire. Je mouille comme jamais. - aaaaah! aaaaah! oui... oui... oooh! je jouis - je viens aaaaah! je viens Le va-et-viens du pénis est de plus en plus rapide. Hélène me saisi les mamelons et commence tirer dessus - oui tire sur mes mamelons tire plus fort ça m'excite ça fait mal c'est bon - moi aussi ça m'excite de voir tes gros seins étirés et soudainement on jouit toutes les deux dans un long gémissement de plaisir. - comme c'était bon t'es une vraie salope ma belle. Tu as bien mérité ton déshabillé Hélène enlève les boules de mon anus me fessant ainsi jouir de nouveau. - aaaaaah! - habille toi vite ma mère va revenir bientôt tu dois partir Je me lève, m'habille et me dirige vers la porte. - n'oublie pas le déshabillé Je reviens sur mes pas ramasse le déshabillé et me dépêcher à sortir de la maison pour ne pas être vue de la mère d'Hélène. Je rentre chez moi en courant. Arrivé chez-moi, je m'enferme dans la salle de bain pour prendre une bonne douche et pour essayer ce déshabillé qui m'a donné tant de plaisir. Cette expérience a marqué la fin de mon CEGEP. Pendant l'été j'ai dû déménager afin de commencer l'université. Pendant les deux ans qui ont suivi, c'est-à-dire jusqu'à aujourd'hui, j'ai eu mes premières relations sexuelles avec des hommes. Mais jamais ces relations m'ont procuré autant de sensation que celle que j'ai eu avec Hélène. Les hommes que j'ai rencontrés étaient trop polis. Jamais ils ne tiraient mes mamelons ou si peu. Jamais non plus ils osaient me donner des ordres et encore moins m'enculer. Ces relations étaient vraiment moches. C'était tellement moche que je me suis procuré deux beaux gros vibrateurs ainsi que quelques objets utiles en domination et le soir je me masturbais en pensant à mon expérience avec Hélène, je rêvais qu'une femme me dominait pendant qu'elle jouissait. Même maintenant, en écrivant mon journal, je mouille en repensant à toute ces histoires.
Je me lève et me déshabille. Je suis nue dans la chambre fasse au miroir. Depuis mon expérience avec Hélène j'aime tirer sur mes mamelons, j'aime les sentir gonfler dans mes mains lorsqu'ils sont étirés. Alors je les saisis à pleine main et commence à tirer dessus. Je les tires et les tords, je grimaces de douleur et laisse aller un gémissement
-Valérie: aaaaah! ummmmh! Mais mes gros seins me font pas encore assez mal à mon goût alors je sors du tiroir deux pinces reliées entre elle par une chaîne. Ces pinces se terminent par deux petits cercles de métal ce qui permet une meilleure prise sur le mamelon. De plus, ils ont un système qui permet de les serrer comme on le désire. Je mets une première pince sur mon aréole gauche prenant soin d'inclure mon mamelon. Je suis habituée à ces pinces alors je la serre au maximum laissant aller un gémissement lorsqu'elle se referme. Je mets l'autre pince sur mon autre aréole. Je grimace de douleur mais la sensation est tellement bonne. Je vois mes gros mamelons gonflés par le sang qui c'est accumulé au bout. Je tire sur la chaîne.
- aaaah! ooooooh! oui Je tire le plus que je peux sur cette chaîne. Mes seins sont étirés comme jamais ils l'ont été, je sens la mouille envahir mon sexe. N'en pouvant plus je sors mes deux vibrateurs et m'étant sur le lit. J'écarte mes jambes et passe un des vibrateurs sur mon clitoris. Il frémit de plaisir. Je le saisis avec mes doigts et commence à le masturber tout en enfonçant le vibro dans mon vagin.
- aaaaah! c'est bon ooooh! oui comme c'est bon J'imprime un va-et-viens au vibrateur tout en continuant à branler mon clitoris. Je sens ma mouille qui envahit mon vagin. Je sors le vibrateur le porte à ma bouche pour lecher ce doux liquide d'amour. Je l'enfonce de nouveau et reprend mon doux mouvement de va-et-viens. Je sens le désir de mon anus par la contraction de ses muscles. J'enfonce un doigt dans ce petit trou de plaisir et le porte à ma bouche. J'aime lecher l'odeur de mon cul ça m'excite. Je me revois entrain de lecher le cul d'Hélène, je sens l'odeur de ce dernier, son goût amer. Je gémis. Je prends l'autre vibrateur en l'enfonce d'un coup dans ce cul qui n'attend que ça. Alors je prends un vibrateur par main et commence à me pénétrer des deux orifices à la fois. Je sens ces gros vibrateurs me pénétrer. J'exécuter ce geste jusqu'au moment où je sens que je vais jouir et j'arrête. J'enfonce bien le vibro dans mon cul et de ma main libre saisit la chaîne et tire sur mes seins tout en continuant de me branler le vagin avec le vibro. J'aime la sensation lorsque j'ai un vibro dans le cul, un dans le vagin et mes seins étirés. C'est souvent dans cette position que je jouis. Mais aujourd'hui je veux faire durer le plaisir et je veux avoir mal. Alors je détache les pinces de sur mes seins et les attaches à mes petites lèvres. Je pousse un gémissement de douleur.
-aaaaaah! uuummmm! Ça fait mal Je grimace de douleur de sentir les pinces sur mes petites lèvres gonflées. Je me lève debout sur le lit, ces pinces sont tellement lourdes que je vois mes petites lèvres toutes étirées, la douleur est à la fois insupportable et bonne pour la salope que je suis. Considérant que mes petites lèvres ne sont pas encore assez étirées, je saisis la chaîne et tire dessus d'un geste brusque. Je gémis de plaisir.
- aaaah! aaah! ooooh! oui oui aaaah! aaah! Je vois mes lèvres étirées d'une façon incroyable, je sens la mouille sur ces dernières. Une idée me vient de faire quelque chose que je n'ai encore jamais oser faire tellement j'ai peur de la douleur que cela peut représenter. Je détache une des pinces et l'approche de mon clitoris. Une crainte me saisit. La pince est serrée au maximum. Mais je suis tellement excité que je saisis mon clitoris dans une main, l'étire bien et met la pince. La douleur est immédiate. Je sens ma tête qui tourne tellement j'ai mal. On dirait que je vais perdre connaissance. Je laisse aller une longue plainte de douleur, j'ai de la difficulté à respirer.
- aaaaaaaaaaaaaah! Mon clitoris me fait très mal, mais une fois la première douleur passée, j'aime la sensation. Je prends la pince et commence à la tordre et à tirer dessus augmentant ainsi la douleur. Je masturbe mon clitoris avec. Je me sens sur le bord d'exploser. Je saisis le vibrateur de mon con et recommence à me branler. La sensation du vibrateur me pénétrant mélangé à la douleur de mon clitoris m'approche de l'orgasme. Je me branle plus vite et plus fort, mon corps se trémousse de plaisir, tous mes muscles sont tendus de plaisir puis soudainement j'explose de plaisir et je jouis en laissant aller une longue plainte de jouissance.
- aaaaaaaaah! Je porte le vibrateur à mes lèvres et commence à le sucer. J'enlève la pince qui est sur la petite lèvre puis le vibrateur qui est toujours dans mon cul. J'hésite à enlever la pince de mon clitoris. Toutes les personnes, qui ont déjà été pincées, savent que la douleur est souvent plus forte lorsqu'on enlève la pince plutôt que lorsqu'on la met. J'ai peur de la douleur. Je regarde mon gros clitoris tout rouge d'être prisonnier de cette pince et me décide finalement à le soulager de sa douleur. J'enlève la pince. La douleur est insupportable mais elle me fait jouir de nouveau dans un grand cri de douleur puis le noir. Je me suis réveillée quelques heures plus tard. Je crois que j'ai perdu connaissance. J'avais toujours en main la pince qui avait torturé mon clitoris. Je me penche pour le regarder. Ce dernier est toujours en érection, sur la pointe, on voit très bien les marques laissées par les deux petits cercles de métal. Il est tout rouge. Je le saisis et me masturbe légèrement jusqu'à jouir de nouveau puis je me rendors d'un sommeil léger.
Quelques jours plus tard je me retrouve seule dans une discothèque. Je suis là depuis environ une heure à regarder les gens, lorsqu'une femme que je ne connais pas s'approche de moi. - Remet ta robe t'as pas honte de te montrer ton con à tout le monde. Tu seras puni à la maison pour autant d'effronterie - viens rentre, fait comme chez toi - je savais que tu te déshabillerais ma salope j'ai vu cela dans tes yeux lorsque tu regardais cette belle écolière. A partir de maintenant tu dois m'appeler maîtresse d'accord - dis donc tu as des beaux gros nichons. Assis toi sur la chaise. - madame comprend vite, tu écartes tes jambes comme si c'était naturel. Met tes mains derrière ton dos de l'autre côté du dossier - Ça semble t'exciter ma salope ton mamelon est tout gros entre mes doigts. - aaaah! - aie ça fait mal arrêter aaaah! - aie ça fais trop mal mais que c'est bon, je mouille aaah! oui... - aie j'ai mal aux seins, les cordes sont trop serrées - oui tirez oui tirez fort maîtresse c'est bon aaaah! aaah! - aie arrêtez - aaaah oui continuez à fouetter mes seins ça me fait mouiller ooooh! oui je sens que je mouille. - lèves-toi - aie ouch! - je vais encore te donner 10 claques, mais à chaque fois que tu bouges, pour éviter une claque, je recommence à compter à partir de zéro. Tu as compris - tu as bougé je recommence à zéro - lève toi - aaaaaah! oui continue à me branler je mouille aaaaah! continue je vais jouir oui... oui... oooooh! aaaaaah! - continue à frapper mon cul oooooh! oui frappe fort aaaah! oooh! oui... - aaaaaaah! ooooh! oui caresse mes seins - arrète de te poigner les seins va faire ça chez toi. Habilles-toi et va-t-en je suis las - en fin de semaine prochaine je vais à ma maison de campagne, il va y avoir suzanne et sa petite écolière. Veux-tu venir avec moi. - oui j'ai envie de venir la suite est a ecrire alors ecrivez votre suite dans un commentaire
-La femme: salut tu es seule
Je la regarde. Elle doit avoir plus de 30 ans. Elle mesure environ 5'8", a les cheveux blonds, les yeux blues. Elle porte un tailleur noir qui lui donne un air sévère.
-Valérie: oui
- moi aussi mais j'attends des gens. Puis-je attendre avec toi?
- y a pas de problème
- mon nom est Julie
- moi c'est Valérie
Sur l'entrefaite une autre femme du même âge arrive accompagné d'une jeune fille qui ne doit pas avoir plus de 19 ans. Cette jeune fille est habillée comme une écolière. Elle porte une blouse blanche trop petite pour elle, ses gros seins sont comprimés par le tissu. Et comme elle n'a pas de soutien-gorge on voit ses grosses aréoles foncées à travers de la blouse. Comme bas elle porte une jupe bleue qui lui descend jusqu'aux genoux. Elle à les jambes nues et porte des souliers à talons plats.
- l'autre femme: salut Julie, regarde qui j'amène
- tiens salut Suzanne tu traînes une petite écolière pas très docile
- elle a fait beaucoup de progrès depuis la dernière fois que tu l'as vue. Regarde
et s'adressant à cette écolière
- lève ta jupe
L'écolière sans rouspéter prend sa jupe et la lève en plein milieu de la discothèque, laissant voir un sexe rasé
- regarde je l'ai rasée pour permettre un meilleur accès à ce con toujours en feu
Je regarde le sexe fasciné. C'est la première fois que je vois un pubis sans poil. De cette façon elle ressemble encore plus à une jeune écolière. Je me sens toute excité. Je sens surtout que je viens peut-être de rencontrer des femmes pouvant me permettre de réaliser mes fantasmes.
Suzanne me regarde
- tu me présentes
- C'est Valérie, on vient de faire connaissance
- madame est jolie. Mais trêve de compliment je dois te quitter, je veux rentrer tôt pour punir cette petite écolière qui n'a fait que des bêtises aujourd'hui Suzanne et son écolière nous quittent me laissant de nouveau seule avec Julie.
- C'est mon amie Suzanne avec son esclave. Je m'ennuis ici tu as envie de venir chez moi, on pourrait discuter
Je sais que je devrais dire non mais depuis le temps que je rêve qu'une femme me domine.
- oui j'aimerais bien aller chez vous
On quitte la discothèque et on se dirige vers la maison de Julie. Dans l'auto on n'échange que des banalités. On arrive enfin chez elle.
Je rentre dans cette belle maison bien meublée
- C'est beau chez vous
- merci, j'aime beaucoup la décoration, viens on va passer au sous-sol
Je suis un peu surprise par le lieu. On se dirige donc vers le sous-sol. La surprise est totale. Je me retrouve au milieu d'un donjon comme on en voit au cinéma. Sur les murs on retrouve plein d'instruments de torture comme des pinces de toutes sortes, des fouets de tous genres. Au centre il y a une chaise et au dessus il y a une poulie. Tout autour de ces derniers on retrouve des bouts de corde.
- surprise ! Écoute beauté ici on ne joue pas. Je te laisse le choix entre partir maintenant ou te déshabiller. Si tu choisis de te déshabiller tu devras m'obéir en tout point et partir seulement lorsque je te le dirais. Alors à toi de choisir tu te déshabilles ou tu pars.
Je suis confuse, mais depuis le temps que je pense à ce moment. Je commence donc à me déshabiller.
- oui
- oui qui?
- oui maîtresse
- alors à poils plus vite que ça, je sens que nous allons bien nous amuser
Je continue à me déshabiller. Je me retrouve finalement nue devant elle.
J'exécute son ordre, m'assoyant sur la chaise les jambes écartées
Elle s'approche de moi et sans avertir saisit un mamelon et tire dessus
-aie ça fait mal
- je suis certaine que ce n'est pas la première fois qu'une femme te poigne les boules de cette façon. Vrai ou faux
- c'est vrai
- voyez-vous ça madame est une habituée
Julie tire encore plus fort sur mon mamelon, je le sens gonfler entre ses doigts
Je laisse aller une plainte de douleur
Julie se penche et m'attache les jambes aux pieds de la chaise puis les mains derrière le dos. Elle se relève, poigne mes deux mamelons et leurs impose une torsion que jamais je n'avais osé faire
Pour toute réponse Julie tord encore plus fort, je sens la douleur partout sur mes seins.
- attend on va améliorer ton sort, on va attacher tes gros nichons. Ils sont parfaits pour ce genre de truc
Elle se penche et ramasse un long bout de corde. Elle l'approche de mes seins. Elle soulève un sein puis passe une extrémité de la corde entre ce dernier et ma poitrine. Elle remonte la corde jusqu'à la naissance du sein puis commence à tourner la corde autour de ce dernier. Elle serre si fort que je vois mon sein gonfler, il commence à devenir rouge. Après avoir fait quelques tours elle passe l'autre extrémité de la corde sous l'autre sein puis recommence le même manège. Lorsque mes deux seins sont biens enroulés, elle passe la corde en "X" au milieu de ma poitrine afin de pouvoir encore mieux les serrer. Lorsqu'elle a terminé, mes seins sont gonflés de sang, ils sont rouges et pointent vers le haut. Je les sens comprimé, on dirait qu'ils vont éclater. La sensation de la corde sur mes seins est merveilleuses je mouille de plaisir.
- veux-tu que je te détache
- non maîtresse faite ce que vous voulez avec mes gros seins. Ils ne désirent que ça.
Julie va sur le mur chercher des pinces comme j'en ai à l'appartement. Elle les met sur mes mamelons et commence à tirer sur la chaîne.
La sensation de mes seins attachés sur lequel on tire est merveilleuse mais aussi douloureuse. Julie se penche et prend ce qu'on appel un martinet. C'est un fouet composé de cinq lanières de cuir d'environ 10". Elle assène un coup sur un sein. La surprise est totale. Je hurle de douleur
Mais Julie continue. Elle fouette mes seins avec une vigueur peu commune. Déjà qu'ils me faisaient mal la sensation du fouet empire la douleur, je mouille, j'aime sentir mes seins souffrir, j'aime les voir se faire fouetter. Je laisse aller un long gémissement de plaisir.
Julie arrète et me détache les pieds.
Je me lève en me demandant ce qui va suivre. Debout je vois mes seins qui sont striés de bandes rouges laissées par le fouet. Mes mamelons sont gonflés et rouges. Sans avertissement Julie me poigne les cheveux et tire dessus.
Tout en tirant sur mes cheveux elle me force à me pencher vers l'arrière, lui offrant ainsi mes seins. Et d'une claque puissante de la main elle frappe un sein. Une pluie de claques s'abat sur mes seins. Je crie, je hurle de douleur, je bouge pour essayer d'éviter les claques mais Julie continue.
- arrête de bouger laisse moi frapper tes grosses boules
et elle continue de frapper. La douleur des tapes plus celle des pinces sur mes aréoles me fait grimacer et tordre de douleur. Je respire fort et par petite bouffée tellement la douleur est vive
- oui maîtresse
Et Julie me donne une première claque, je m'applique à pas bouger mème si la douleur est atroce. La deuxième claque survient puis la troisième, la quatrième, la cinquième à la sixième je ne peux m'empècher de bouger j'ai tellement mal.
- pitié ne recommencer pas à zéro j'ai trop mal aux seins
Mais Julie reprend à zéro. Cette fois je fais tous les efforts pour éviter de bouger. Lorsque le châtiment est terminé mes seins sont d'un rouge vif affreux. Jamais je n'ai eu aussi mal aux seins, mais mon côté pervers me fait aimer ce genre de châtiment, j'ai hâte à la suite des événements, je mouille comme une vraie fontaine.
Je me relève péniblement. Julie prend un collier sur le mur et me le passe autour du cou en prenant soin de placer l'anneau dans mon dos. Elle détache mes mains.
-met tes mains en avant
Elle me passe une paire de menottes comme celle utilisée par les policiers. Elle se penche et ramasse un long bout de corde. Elle attache une extrémité à l'anneau et tire sur la corde vers mes fesses. J'ai la tète par en arrière je ne vois que le plafond.
-Écarte tes jambes
J'obéis ayant trop peur de la correction si je ne lui obéissais pas. Elle écarte mes fesses et fait passer la corde entre les deux. Je sens cette dernière sur mon anus. Puis elle ouvre mes petites lèvres et fait passer la corde entre mes jambes directement sur mon con et sur mon gros clitoris gonflé par le plaisir. Elle tire sur la corde.
-aaaaah oui c'est bon la sensation de la corde sur mon gros "clit"
Julie remonte la corde l'attache, en tirant le plus qu'elle peut, sur celle qui retient déjà mes seins. Je sens mon clitoris comprimé par la corde. Julie imprime un mouvement de va-et-vient à la corde ce qui a pour effet de masturber mon clitoris prisonnier. La sensation est merveilleuse.
Julie arrète et commence à enrouler la corde autour de ma taille. Elle tire fort. J'ai de la difficulté à respirer ma taille est tellement comprimée. Finalement elle attache le dernier bout de corde à celle qui retien mes seins. J'étouffe, j'ai l'impression d'ètre dans un corset attaché trop serré. Cette position, la tête par en arrière et la taille attachée, fait ressortir mes seins et mes fesses d'une façon obscène. Julie prend mes mains et les attache à la poulie qui est au plafond. Elle remonte cette dernière. Lorsqu'elle arrête de monter la poulie, mes pieds ne touchent presque plus à terre, m'obligeant à ètre sur la pointe des pieds. Mes bras sont tendus et mes pieds ne portent presque plus par terre. J'ai mal partout, aux seins, aux mamelons, à la taille, aux bras, aux cuisses. C'est épouvantable.
- laissez moi au moins mettre les pieds sur le sol
Pour toute réponse Julie reprend le martinet et commence à frapper mon cul tendu. Elle frappe fort et partout. A chaque coup je sens la corde me branler le clitoris. C'est douloureux et jouissant
Julie continue de frapper, je sens les lanières du martinet labourer mon cul. Mais la corde continue de me branler, je mouille je sens que je vais jouir branlé par la corde.
-oooh! oui continue je vais jouir oooh! oui... oui... continue je mouille, oui je viens aaaaaah! et je jouis dans un grand cri de plaisir.
- aaaah! aaaah! ooooh! oui oui... aaaaaah!
Julie s'approche de moi et me détache les mains, puis défait la corde qui m'entoure la taille et qui retient ma tète en arrière. Je peux enfin respirer mieux, j'en profite pour reprendre mon souffle. Julie enlève les pinces de sur mes mamelons.
Je lui tends mes seins. Pour toute réponse Julie défait la corde qui retient mes seins depuis maintenant près d'une heure. La pointe de mes seins sont rouges. Je saisis mes seins et commence à les masser pour permettre la circulation sanguine. Mes seins sont sensibles et douloureux, je les masse lentement.
Je m'habille et fait quelques pas vers la porte
Je viens de vivre une de mes plus belle soirée de jouissance. Alors je n'hésite pas, surtout à l'idée de revoir Suzanne.
- oui qui
- oui maîtresse
- alors soit près vendredi soir à 9hrs, je passerais te prendre. Tu dois m'attendre dehors et porter qu'un manteau tu dois ètre nue sous ce manteau.
Je marche vers la porte et commence à monter les marches
- oublie pas dehors à 9hrs et tu dois ètre nue sous ton manteau. Je serais à l'heure.
Je quitte la maison et rentre chez moi. Je prends une douche et me couche. Il m'est impossible de m'endormir je suis trop excité. Alors je saisis mon clitoris et commence à me masturber. Je finis par jouir et à m'endormir en pensant à ma fin de semaine prochaine.