Laïka raconte |
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un couple d’amis SM, F. et I., un jeune et beau couple d'Aix en Provence à l’anniversaire d’un ami soumis à Marseille. |
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Vendredi, vers 21 heures, en compagnie de nos amis, nous sommes allés chercher P. à la sortie de son travail. P. est un homme d’une soixantaine d’années, très bien conservé, et d’esprit très jeune. Ils nous a tout de suite paru sympathique. Dans la voiture, P. s’est placé entre moi et I. Nous étions toutes les deux vêtues d’un corset, de chaussures à haut talons et d’un long manteau. P. était habillé “normalement”. N., mon maître, et F. étaient vêtus de pantalons de cuir et de hauts en vinyle. Mon maître portait en outre une magnifique casquette de dominateur et une cravache. Nous nous sommes rendus chez un autre couple où se tenait la soirée. L’appartement de S. et J. était superbe. Nous avons été accueillis dans un grand salon, éclairé à la bougie et décoré de larges canapés en cuir. S. et J. forment un jeune couple, plus échangiste que SM, mais J. adore se faire dominer par sa femme. S était vêtue d’un corset et d’un long manteau transparent, et J. portait un pantalon de cuir. Lors de l’apéritif, I. et moi avons successivement fait le service, à genou, seulement vêtues de nos corsets et de nos superbes talons aiguilles. Nous nous déplacions d’un invité à l’autre avec un plateau ou des verres contenant du champagne. J. et P. se sont habillés (ou plutôt déshabillés) et ont revêtu leurs tenues de soumis (nus avec des poignets de cuir et leur collier de chien). J. et P. ont ensuite servi le repas au cours duquel nos jeux ont commencé. La table en verre fumé permettait à chacun d’observer ce qui se passait en dessous... Mon maître m’a demandé d’écarter les jambes afin que chacun puisse me voir ouverte. P. s’est mis à genou auprès de F. et s’est conduit en parfait soumis en commençant à le sucer. Alors que nous étions dans la cuisine pour une séance de photos, mon maître et moi avons fait plus ample connaissance avec P. C’est vraiment quelqu’un de sympathique qui aime se faire dominer par de jeunes couples. Malheureusement, il semble que ce ne soit pas facile à trouver... Il nous a parlé de ce qu’il aimait, de sa longue relation avec F., son dominateur, et avec J. A notre retour au salon, S. s’occupait de J. en lui introduisant des boules de geisha dans le cul, et F. fouettait I. avec enthousiasme. Il a fait mettre P. à ses pieds et les a dominés tous les deux. Il a demandé à I. d’enlever le slip de P. avec ses dents ce qu’elle a exécuté parfaitement. Mon maître a alors commencé à me bondager sévèrement. J’étais à quatre pattes, la tête posée sur un canapé. Il m’a lié les mains et les jambes dans une position très inconfortable. J’avais les mains liées derrière le dos et les pieds attachés très haut sur les fesses. C’était, paraît-il, magnifique... Au bout d’une vingtaine de minutes, j’avais très mal et je lui demandais grâce. Il me détacha lentement.
Ensuite tous les soumis (moi, I et P.) furent mis côte à côte et l’on commença un nouveau jeu qui consistait à reconnaître à qui appartenait le fouet qui nous punissait et qui donnait les coups. A chaque erreur, nous étions punis à la bougie. Ce n’est qu’au bout du 6ème tour que P. trouva la bonne réponse. Alors que les deux autres soumis ne bronchaient pas, je me tortillais de douleur à chaque coulée de bougie. Ce fut très douloureux pour moi. Je pris alors conscience que j’étais encore une jeune soumise et qu’un long chemin m’attendais avant de devenir la parfaite chienne de mon maître. Pour nous récompenser, nous eûmes le droit de servir le dessert à nos maîtres. Cette petite pose nous réconforta. d’entre nous devait lui donner 10 coups de fouet ou de cravache. P. ne bougea pas jusqu’à ce que mon maître saisisse la cravache. P. commença alors à se trémousser. Puis, F. poursuivit la punition avec une ceinture de cuir très large. P. émit alors de petits cris de douleur. Ayant reçu son cadeau, P. nous remercia tous. De jolies marques ornaient son cul et P. était très fier. Après avoir échangé nos coordonnées, nous prîmes congé de nos hôtes vers 4 heures du matin, épuisés mais ravis de cette soirée... |