Laïka raconte |
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Cela faisait longtemps que Maître N. et moi entendions parler de ce fameux Château. Nous ne devinions pas les merveilles qu'il recelait jusqu'à ce que notre amie Alexandra nous fasse l'honneur de nous convier à l'une des soirées qu'on y organisait. Dès notre arrivée, un soumis ouvrait une large grille pour y laisser pénétrer nos voitures. Nous fûmes accueillis par les organisateurs de la soirée qui surent nous mettre à l'aise immédiatement. J.P. nous conduisit dans la salle principale du château. Il nous présenta à tous les convives et plus particulièrement au châtelain. Ce dernier, très sympathique, avait le regard pétillant des hommes d'un certain âge qui ont conservé leur âme de jeune homme. Soudain, le centre de la pièce fut l'objet de toutes les attentions. Une jeune soumise y lisait un texte où elle acceptait, comme preuve de son obéissance, la pose publique d'anneau sur son clitoris. Elle fut attachée sur un beau fauteuil aménagé en siège gynécologique. Mon Maître m'ordonna de me mettre à genoux près de la cheminée de façon à ce que j'observe bien la scène. Lui, s'éloigna de moi pour rejoindre nos hôtes. Le châtelain avait souhaité notre présence près de lui. J'étais l'une des seules soumises (avec la jeune percée) à avoir l'honneur de dîner autour de la table. Les autres soumises étaient chargées du service. En revanche, il semblait que les soumis étaient eux admis à dîner à table. Je jugeais cette pratique un peu machiste, mais n'en touchais mot. Nous rejoignîmes la salle principale du château. Mon Maître m'ordonna de me tenir devant la cheminée pendant qu'il préparait les liens destinés à un bondage. Peu à peu l'espace se fit autour de nous et une partie des convives fit cercle pour observer la scène. J'étais très fière et, en même temps, je commençais à sentir mes membres s'engourdir. Après un moment qui me parut une éternité, mon Maître me détacha lentement. Je restais un long moment clouée au sol essayant de retrouver l'usage de mes membres endoloris, ce qui fit beaucoup rire mon Maître. Très vite, J.P. vint vers moi et me demanda de le suivre vers le centre de la pièce. Un signe de mon maître m'indiqua que je devais m'exécuter. J.P. m'expliqua qu'à la demande de mon maître, il allait me transformer en pony-girl. Il m'ordonna de fermer mes yeux. Il me passa des bracelets autour des poignets et des chevilles. Puis, je sentis un lourd collier se refermer doucement autour de mon cou. Ensuite, il me passa une sorte de harnais autour de la tête et posa enfin un mors dans ma bouche. Pour terminer, J.P. posa un loup devant mes yeux. Il attacha la chaîne qui reliait les menottes de mes chevilles et celle qui reliait mes poignets. Je sentis aussi qu'il ouvrait mon petit haut en cuir. J'étais presque prête. J.P. attacha des petits poids aux piercings de mes seins "afin de vérifier que (mon) buste ne bougeait pas pendant que je marchais". Je retenais mon souffle et ne pouvais laisser échapper le petit cri resté coincé au fond de ma gorge. Il attrapa les rênes qui pendaient derrière mon dos et me dit que nous allions faire une petite promenade. Il m'indiqua la façon dont je devais me déplacer en levant les genoux très haut puis en lançant ma jambe en avant, sans bouger le buste. C'était vraiment très difficile ! Je fis quelques essais sur place puis j'avançais sous la direction de J.P. Il m'indiqua quand tourner à droite, à gauche... Peu à peu, sous l'effet de la fatigue et de la tension, je commençais à me prendre les pieds dans la chaîne. Il me demanda alors de me mettre à quatre pattes et nous continuâmes la promenade ainsi. Enfin, J.P. passa les rênnes à mon Maître qui promena sa pony-girl dans la pièce avec une grande fierté. J'étais à lui, totalement heureuse, malgré la fatigue. Finalement, je me relevais sur ses ordres. Je n'en pouvais plus, j'étais épuisée et je pleurais. J.P. m'ôta mon arnachement, doucement. Je le remerciais comme il se doit et me réfugiais dans les bras de mon Maître. Après un moment de tendresse que j'appréciais énormément, J.P. proposa à mon Maître de me faire essayer la roue. Je fus punie avec un fouet assez dur mais J.P. maîtrisait parfaitement ses coups et il savait exactement quelle partie de mon corps il visait. Puis, il me détacha de la roue et entreprit une petite expérience qui devait s'avérer terrible pour moi. Il me banda les yeux et m'ordonna de me mettre à quatre pattes. Le long fouet qu'il utilisa ne me toucha jamais. Il ne faisait que me frôler en claquant très fort sur le sol en pierre, juste à côté de moi. Si je ne ressentais aucune douleur, en revanche j'étais totalement terrorisée. A chaque coup de fouet qui tombait à côté de moi, je sursautais. L'impression était terrifiante. Je pleurais à chaudes larmes tellement j'avais peur. |