Laïka raconte |
![]() |
![]() Arrivés sur place, mon maître m’ordonna d’aller sonner chez nos amis et me dit qu’il me rejoindrait plus tard. |
![]() |
F. m’accueillit à bras ouverts ; I. était en ville. Dès mon arrivée, F. m’accompagna au salon et me plaça au milieu de la pièce, les jambes écartées et les mains derrière le dos. Je compris alors qu’il avait eu une conversation téléphonique avec mon maître. F. m’expliqua comment allait se passer la soirée. Nous devions dîner au restaurant avec un ami de F. et I. Au cours de ce repas, je ne choisirais ni mon menu ni ce que je boirais : mon maître choisirait tout pour moi. F. me demanda alors si j’étais prête à faire quelque chose pour lui. J’acquiesçais. Il m’expliqua alors ce que je devais faire. Une fois que j’aurais bu l’apéritif, je devrais me rendre aux toilettes avec mon verre et faire pipi dedans. F. me demanda si je me sentais prête pour cela. Je lui répondais que oui. Sur ce, mon maître arriva. F. lui offrit aussitôt à boire et ils s’installèrent confortablement dans le sofa pendant que mon maître me demandait de me mettre à quatre pattes. Tout à coup, le téléphone retentit. F. me dit que ce devait être I. et me demanda de répondre. I. s’était rendue chez le coiffeur et nous demandait de venir la chercher en ville. Je fis part de sa requête à F. et nous lui donnâmes rendez-vous dans le centre d’Aix. Avant de partir, F. et mon maître préparèrent un sac avec les affaires d’I. Après avoir récupéré I., nous allâmes faire quelques courses au supermarché. I. et moi étions chargées des courses “alimentaires” tandis que nos maîtres partirent de leur côté faire quelques emplettes "SM". Avant de nous quitter, F. donna ses affaires à I. et lui ordonna de se changer avant de quitter le supermarché. Je partis donc avec I. Après les courses, elle prit un vêtement et se rendit dans une cabine d’essayage pour revêtir la tenue que nos maîtres avaient choisi pour elle. Elle en ressortit avec une mini-jupe en cuir, de haut talons et un top en cuir également. Nous passâmes à la caisse non sans nous être fait remarquer par nos tenues et nous rejoignîmes nos maîtres dans un café de la galerie marchande. I. avait acheté des bas. Son maître l’envoya immédiatement les vêtir dans les toilettes. Pendant ce temps, je commandai un café. Mon maître me regarda avec mécontentement en me demandant si je lui avais demandé l’autorisation. Je compris alors que la soirée serait dure. Je baissai les yeux et m’excusai. Pour me punir, il m’ordonna le silence pendant une demie-heure. J’étais très ennuyée car j’avais hâte de discuter avec F. et I. Quand I. revint, nous repartîmes vers la maison. Nous avions rendez-vous à 20h30 avec P., l’ami de F. et I. Nous étions en retard car I. et moi souhaitions prendre une douche avant le départ. F. téléphona donc à P. pour lui annoncer que nous ne passerions le chercher que vers 21h. Nos maîtres souhaitaient qu’I. et moi soyons habillées de la même manière, en "soeurs catins". Nous essayames diverses tenues avant qu’ils soient satisfaits. Finalement, nous nous mîmes tous d’accord sur une minijupe en cuir et un top en cuir avec de hauts talons. Nous nous installâmes et le garçon vint nous demander si nous prendrions des apéritifs. I. et moi ne répondîmes pas et laissâmes nos maîtres choisir pour nous. Le garçon nous regarda en attendant nos réponses. Au cours de l’apéritif, j’informai mon maître de la requête de F. Il regarda la salle, jeta un coup d’oeil à F. et me dit que j’étais exemptée de cette requête. J’émis intérieurement un ouf de soulagement car j’avais accepté cette tâche sans vraiment en prendre toute la mesure. Le garçon nous apporta les cartes et ne comprit pas bien notre petit jeu. Alors que j’avais donné ma carte à mon maître, il m’en redonna une voyant que je n’en avais pas dans les mains. Je la donnais à nouveau à mon maître si bien que lui et F. se retrouvèrent avec 3 cartes dans les mains ! Mon maître choisit pour moi une assiette de coquillage. C’était un vrai bonheur car cela faisait très longtemps que j’en avais envie. F. choisit un plat de moules gratinées pour I. Durant le repas, nous discûtames à bâtons rompus avec F., I. et P. que nous avions déjà rencontré à plusieurs reprises. Nous leur parlâmes de nos vacances et cela les amusa beaucoup. Arrivés chez F. et I., nos maîtres commencèrent à allumer des tas de bougies de toutes sortes. Ils nous ordonnèrent à I. et à moi de nous mettre à genou, l’une en face de l’autre et nous bandèrent les yeux. Nous allions servir de bougeoirs. F. et I. s’installèrent pour profiter du spectacle. Comme la première fois, je me roulais de douleur dès le premier coup. Mon maître m’ordonna de reprendre ma position ce que je mis un certain temps à faire. Puis les deux derniers coups tombèrent aussi douloureux que le premier. Je pleurais à chaudes larmes. F. et I. semblaient impressionnés par les marques que m’avait laissé le fouet sur le corps. Nous les rassurâmes en leur affirmant que le lendemain, plus rien ne paraîtrait. Après une boisson réconfortante, nous nous souhaitâmes une bonne nuit. |