Laïka raconte
Laïka joue à la maîtresse...
(30.04.2001)

e week-end dernier, mon maître et moi sommes allés à la Rose noire, près de Toulouse. Après plus d’un mois sans sortie, c’est avec grand plaisir que nous avons retrouvé nos compagnons de jeu.

Il faisait un temps superbe ce samedi, aussi avons nous décidé de partir nous amuser un peu. Le Donjon de Maîtresse Bénédicte était l’occasion de retrouver de nombreux amis. Arrivés sur place, nous avons retrouvé Maîtresse Bénédicte avec un soumis pour lequel nous avons beaucoup d'amitié, Y., attablés pour le dîner. Nous les avons rejoints et avons été accueillis avec joie. Le repas fut très sympathique et après plus de deux mois d’absence, nous avions des tas de choses à nous raconter.

Vers 22h, mon maître et moi nous dirigeâmes vers le donjon. Je revêtais un serre-taille en cuir brillant et un petit haut en cuir également, ainsi que des bas résille et de hauts talons. Mon maître enfilait son pantalon de cuir avec un haut moulant en latex et ses grandes bottes en cuir.
Lorsque nous fîmes notre entrée, tout le monde était déjà arrivé. Un soumis travesti nous servit un verre de sangria et nous saluâmes la compagnie. Un autre soumis arriva en même temps que nous. Il y avait aussi un maître que nous ne connaissions pas et un groupe composé d’un maître, deux maîtresses, et de 4 soumis(es).

Mon maître m’attacha à la croix de Saint-André pour une longue séance de fouet et de martinet. Il commença à me punir avec notre martinet en agneau puis avec un autre en latex. Le public attentif, nous observait. Au bout d’un long moment, je ne pus retenir mes larmes. Mon maître continua à me punir un long moment encore puis il m’octroya une pause. Nous nous rendîmes au bar et entrâmes dans une longue discussion avec Y. Pour plaisanter, il me demanda de le punir. Je regardais mon maître qui me dit : “Ca t’intéresses d’essayer ?”
J’hésitai car je savais que j’avais encore beaucoup à apprendre... “Pourquoi pas ?” répondis-je.

Mais avant, je voudrais te faire un beau bondage” me dit mon maître. Il me fit asseoir sur une roue et entreprit de m’y attacher avec un superbe bondage. Il commença par me passer la corde derrière le cou puis il me lia les bras derrière le dos. Mes jambes reposaient sur les rayons de la roue. Elles étaient solidement attachées. Une fois, le bondage terminé, il me laissa attachée un moment afin que tout le monde puisse profiter du spectacle. Il s’absenta et revint avec des piques à olives. Il entreprit de me piquer un peu partout. Cela semblait baucoup l’amuser. Je gigotais autant que je le pouvais sans parvenir à me soustraire à ses petits pics qui tétanisaient mes muscles et, sans être vraiment douloureux, étaient très irritants. Il me piqua longuement les tétons et l'entrecuisse. Ma résistance nerveuse commençait à atteindre ses limites... Après s'être amusé longtemps avec moi, mon maître me libéra doucement et nous fûmes rejoint par Y. et Maîtresse Bénédicte.

Il était l’heure pour moi d’entrer dans le rôle de la maîtresse. J’attachais Y. au palan qui était suspendu au plafond et je commençais à le fouetter au martinet. Je faisais doucement par peur de lui faire mal mais Y. est un soumis très résistant. Peu à peu, je maîtrisais mieux le martinet et je parvenais à toucher les endroits que je souhaitais. Puis, Y. me demanda si je voulais lui poser des aiguilles. J’avais très peur de lui faire mal et de ne pas savoir m’y prendre. Il me guida. Je désinfectai la partie du corps destinée aux aiguilles (le torse) à l’aide d’une compresse alcoolisée. Puis je pris une aiguille stérile que je devais planter sans trembler. Je pinçai le torse du soumis et avec un peu d’hésitation je plantai l’aiguille. Y. qui apparemment n’avait rien senti, me demanda de recommencer sans hésiter. Je pris une seconde aiguille et, plus sûrement, je la plantai dans le torse du soumis. Cela me fit une drôle d’impression. J’avais vraiment peur de rater mon coup, mais Y. était ravi.
Mon maître était très fier de moi, mais craignant que je ne prenne goût à mon rôle, il me rappela que j’étais sa soumise, ce que je n’avais pas oublié. Il m’attacha au palan et entrprit de me bondager afin de m’élever. Soudain, je m’envolai... mes pîeds ne touchaient plus terre, j’étais ravie.

Nous terminâmes la soirée avec du champagne, au salon, en discutant à tout rompre. Nous avions passé une très bonne soirée et j’étais heureuse d’avoir fait mes premiers pas de maîtresse...

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