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Laïka raconte
A Marseille, pour
l'anniversaire d'un soumis
(22.10.2000)

e week-end, mon maître et moi étions invités par
un couple d’amis SM, F. et I., un jeune et beau
couple d'Aix en Provence à l’anniversaire d’un ami
soumis à Marseille.

Vendredi, vers 21 heures, en compagnie de nos amis,
nous sommes allés chercher P. à la sortie de son travail.
P. est un homme d’une soixantaine d’années, très bien
conservé, et d’esprit très jeune. Ils nous a tout de suite
paru sympathique. Dans la voiture, P. s’est placé entre
moi et I. Nous étions toutes les deux vêtues d’un corset,
de chaussures à haut talons et d’un long manteau. P.
était habillé “normalement”. N., mon maître, et F. étaient
vêtus de pantalons de cuir et de hauts en vinyle.
Mon maître portait en outre une magnifique casquette
de dominateur et une cravache.
Nous nous sommes rendus chez un autre couple où
se tenait la soirée. L’appartement de S. et J. était
superbe. Nous avons été accueillis dans un grand
salon, éclairé à la bougie et décoré de larges
canapés en cuir. S. et J. forment un jeune couple,
plus échangiste que SM, mais J. adore se faire
dominer par sa femme. S était vêtue d’un corset et
d’un long manteau transparent, et J. portait un
pantalon de cuir.
Lors de l’apéritif, I. et moi avons successivement fait
le service, à genou, seulement vêtues de nos corsets
et de nos superbes talons aiguilles.
Nous nous déplacions d’un invité à l’autre avec un
plateau ou des verres contenant du champagne.
J. et P. se sont habillés (ou plutôt déshabillés) et
ont revêtu leurs tenues de soumis (nus avec des
poignets de cuir et leur collier de chien). J. et P.
ont ensuite servi le repas au cours duquel nos
jeux ont commencé. La table en verre fumé permettait
à chacun d’observer ce qui se passait en dessous...
Mon maître m’a demandé d’écarter les jambes afin que
chacun puisse me voir ouverte. P. s’est mis à genou
auprès de F. et s’est conduit en parfait soumis en
commençant à le sucer. Alors que nous étions
dans la cuisine pour une séance de photos,
mon maître et moi avons fait plus ample
connaissance avec P. C’est vraiment quelqu’un
de sympathique qui aime se faire dominer par de
jeunes couples. Malheureusement, il semble que
ce ne soit pas facile à trouver... Il nous a parlé de
ce qu’il aimait, de sa longue relation avec F.,
son dominateur, et avec J. A notre retour au salon,
S. s’occupait de J. en lui introduisant des boules
de geisha dans le cul, et F. fouettait I. avec
enthousiasme. Il a fait mettre P. à ses pieds et les
a dominés tous les deux. Il a demandé à I. d’enlever
le slip de P. avec ses dents ce qu’elle a exécuté
parfaitement. Mon maître a alors commencé à
me bondager sévèrement. J’étais à quatre pattes,
la tête posée sur un canapé. Il m’a lié les mains et
les jambes dans une position très inconfortable.
J’avais les mains liées derrière le dos et les pieds
attachés très haut sur les fesses. C’était, paraît-il,
magnifique... Au bout d’une vingtaine de minutes,
j’avais très mal et je lui demandais grâce.
Il me détacha lentement.
Ensuite tous les soumis (moi, I et P.) furent
mis côte à côte et l’on commença un nouveau
jeu qui consistait à reconnaître à qui appartenait
le fouet qui nous punissait et qui donnait les coups.
A chaque erreur, nous étions punis à la bougie.
Ce n’est qu’au bout du 6ème tour que P. trouva
la bonne réponse. Alors que les deux autres soumis
ne bronchaient pas, je me tortillais de douleur à chaque
coulée de bougie. Ce fut très douloureux pour moi.
Je pris alors conscience que j’étais encore une jeune
soumise et qu’un long chemin m’attendais avant de
devenir la parfaite chienne de mon maître.
Pour nous récompenser, nous eûmes le droit de
servir le dessert à nos maîtres. Cette petite pose
nous réconforta.
Il était l’heure d’offrir son cadeau à P. Chacun
d’entre nous devait lui donner 10 coups de fouet
ou de cravache. P. ne bougea pas jusqu’à ce que
mon maître saisisse la cravache. P. commença
alors à se trémousser. Puis, F. poursuivit la punition
avec une ceinture de cuir très large. P. émit alors
de petits cris de douleur. Ayant reçu son cadeau,
P. nous remercia tous. De jolies marques ornaient
son cul et P. était très fier. Après avoir échangé nos
coordonnées, nous prîmes congé de nos hôtes vers
4 heures du matin, épuisés mais ravis de cette soirée...