Laïka raconte
C'est l'anniversaire de mon maître
(24.11.2000)

our fêter cet heureux évenement, j'avais prévu deux soirées : l'une en tête à tête amoureux et l'autre, que je vous raconterai plus tard, dans un donjon.

Notre petite soirée à deux était fabuleuse. J'avais réservé une table dans un très bon restaurant de Montpellier qui sert une cuisine de terroir raffinée. Mon maître et moi n'avions pas eu le temps de nous habiller car nous étions sortis très tard de notre travail. Nous étions tous deux vêtus de pantalons de cuir très moulants et formions un très joli couple. Le dîner était vraiment excellent mais la salle de restaurant un peu bruyante. Aussi, mon maître et moi avions hâte de nous retrouver à la maison et de nous amuser.
Rentrés dans notre demeure, je me suis immédiatement changée et j'ai revêtu ma tenue de soubrette pour servir le thé à mon maître.

Ensuite, il m'a demandé de me deshabiller totalement pour une séance de bondage. Pour la première fois, il m'a bâilloné la bouche avec un morceau de scotch noir et en a profité pour coller deux petits morceaux de scotch sur mes seins en formant une croix. J'avais très peur car je déteste être bâillonnée mais finalement j'ai trouvé cela très mignon. Une fois le bondage terminé mon maître a pris quelques photos et m'a détachée.

Puis, j'ai enfilé mes bas et mes gants en latex. C'est une longue cérémonie. Je commence par m'enduire les jambes et les bras de talc. Ensuite mon maître m'aide à enfiler les vêtements car ce n'est vraiment pas facile et surtout je n'ai pas encore l'habitude... Et là, arrive le moment magique où j'enduis le latex de polish. C'est très sensuel et très excitant. J'en rajoutais un peu lissant délicatement mes bas... Je voulais rendre mon maître totalement fou... et je crois bien y être arrivée !! Il me regardait faire et de temps en temps je levais les yeux vers lui pour voir sa réaction. C'était vraiment excitant. Nous avons fait des photos dans plein de positions différentes. Régulièrement je remettais du polish car le latex boit beaucoup, c'est là son grand défaut.
Bref, je ne vous raconterai pas la suite de cette soirée qui entre alors dans le domaine du privé.

Le lendemain matin, je me suis rendue en ville pour chercher un cadeau à mon maître. J'ai trouvé une superbe carte postale avec du pilou tout autour (du boa), de très bons chocolats, et un tee-shirt hyper sexy accompagné d'un lien censé mouler les pectoraux. Puis je suis rentrée, j'ai préparer un petit café et j'ai réveillé mon maître en lui offrant ses jolis cadeaux. Il était ravi et moi j'étais très heureuse d'assister à ce réveil...très doux...
Ce week-end nous partirons à Toulouse pour une soirée donjon qui devrait s'avérer pleine de nouvelles aventures... A bientôt

Laïka raconte
Un dimanche pluvieux en Avignon
(13.11.2000)

e dimanche, c’est sous une pluie torrentielle que nous nous sommes rendus en Avignon au salon de l’érotisme. Avec mes hauts talons, l'opération fut éprouvante.

C’est une manifestation qui se tient régulièrement dans notre région mais mon maître et moi n’avions jamais eu l’occasion d’y aller. C’était l’occasion de remettre du neuf dans ma garde-robe et mon maître avait plein d’idées sympathiques à ce propos. J’étais vêtue d’un petit short en vinyle, de mes grands talons et d’un petit pull tout doux, sous mon grand manteau.

Nous avons mis un bon moment pour atteindre le parc des expositons d’Avignon où se tenait le salon. A notre arrivée, une longue file d’attente nous accueillait. Le public n’était ni SM ni fétichiste, je dirais presque familial... avec beaucoup d’hommes seuls venus se rincer l’oeil avec les spectacles de filles nues, mais aussi de nombreux couples. Le salon était bondé mais nous eûmes l’agréable surprise de découvrir de nombreux exposants de vêtements.

Notre regard fut tout d’abord attiré par une jolie tenue de soubrette. Cela faisait longtemps que j’en rêvais et mon maître était ravi d’en trouver enfin une jolie. Je l’essayai : elle m’allait à ravir. J’étais toute excitée et mon maître s’impatientait déjà de me la voir revêtir le soir même.
Notre choix se porta ensuite sur de longs gants et des bas assortis en latex. Un basique mais qui, avec un bon polish, est toujours très sexy.

En nous promenant, je me suis arrêtée devant une superbe petite robe en vinyle. Elle faisait davantage maîtresse que soumise mais était superbement coupée. Je l’essayai et mon maître craqua... Je la gardai sur moi pour finir notre petite promenade.

Nous nous sommes également arrêtés devant de superbes chaussures dont les talons dépassaient largement celles que je portais. Elles étaient magnifiques avec une haute plateforme. Je demandai ma taille à la vendeuse mais elle n’en avait pas. J’essayai quand même la taille inférieure. Elles étaient vraiment jolies mais aussi... vraiment trop petites. Dommage, mais la vendeuse nous dit qu’elle avait un magasin sur Avignon. Elle nous donna sa carte, nous y passerons sûrement un jour.
Nous cherchions surtout une combinaison en latex. Malheureusement, les exposants de vêtements en latex étaient peu nombreux et celui qui a retenu notre attention n’avait pas la taille qui me convenait.

Enfin, nous nous promenâmes chez les exposants de lingerie et nous avons tous les deux craqué pour une jolie guêpière en dentelle accompagnée de ses jarretières... très craquant.
Nos achats effectués nous nous sommes arrêtés quelques minutes devant un show de jeunes filles en sous-vêtements. Le public devait voter en applaudissant pour la plus sexy des jeunes filles. J’avais un peu l’impression de me trouver dans une foire à bestiaux, drôle d’ambiance...
Enfin, alors que nous allions quitter le salon, nous découvrîmes deux superbes motos exposées. Mon maître me demanda de poser à côté des motos et me prit en photo. Au même moment, un jeune homme qui passait avec un appareil, profita de la pose pour prendre une photo. Je lui souris, je suis toujours étonnée de voir que les gens me trouvent jolie... mais bon, il faut croire que...

De retour à Montpellier, j’enfilai ma tenue de soubrette pour préparer le repas. Mon maître était fou amoureux... et nous passâmes une très bonne fin de journée. Un beau dimanche pluvieux...

Laïka raconte
Jeu de piste à Montpellier
(06.11.2000)

ier, mon maître a organisé pour moi un jeu de piste à travers la ville. C’était pour moi à la fois très excitant et très riche en émotions.

En me levant, je trouvais une lettre accompagnée de 10 enveloppes numérotées. Je devais me préparer pour 13h30 avec une jupe courte, un petit pull, des chaussures plates et un grand manteau. Dans mon sac, je devais emporter mes hauts talons, un harnais, un collier de chien, des bas et un stylo feutre. Je n’avais pas droit à ma montre et toute une série d’instructions m’étaient données : je devais accumuler 75 points et je n’avais droit qu’à un joker (coup de téléphone)...

A 13h30, mon maître me conduisit chez le coiffeur où j’avais pris rendez-vous sous ses ordres le matin même. Sur le chemin, il me dit que je devais ouvrir la première enveloppe juste avant d’entrer chez le coiffeur. J’étais excitée comme une puce et en même temps très anxieuse de savoir ce qu’il m’avait préparé.
Alors que j’ouvrais la première enveloppe, je découvrais la feuille de route n°1 intitulée “Laïka se fait couper les cheveux”. En arrivant au salon de coiffure, je demandais les toilettes et avec le feutre, je devais m’écrire sur le ventre “je suis une chienne”. Cela m’amusa bien et je me dis alors que j’allais beaucoup m’amuser pendant cette journée. J’avais également sur cette première feuille de route des instructions concernant ma coiffure dont je fis part à mon coiffeur.

A la sortie, j’étais toute mignonne avec mes cheveux coupés très courts et j’ouvrais l’enveloppe n°2. J’avais 20 minutes pour me changer et revêtir mon harnais, mes bas et mes hauts talons sous mon manteau. Je me rendis donc dans un café et allai me changer aux toilettes. Au moment d’enfiler mon harnais, je me rendis compte qu’il manquait une boucle et qu’il était donc impossible de l’attacher. Zut ! Je n’avais pas d’autre solution que de rester nue sous mon manteau. Génial ! J’étais on ne peut plus ravie ! J’avais une peur atroce que mon manteau ne s’ouvre sous le vent qui soufflait. Je pris soin de bien fermer mon manteau et je vérifiais régulièrement s’il ne s’ouvrait pas. Ensuite je devais résoudre une énigme pour me rendre, 20 minutes plus tard, à un endroit précis. Je devais trouver un livre, Le Père Goriot, et les lettres qui m’étaient demandées, ces lettres devant former le nom d’un lieu. Je me rendis donc dans une librairie toute proche, et demandai à consulter ce roman. Je résolus facilement l’énigme et me rendis au lieu indiqué. Dans ce bar, je commandai un café puis j’ouvris l’enveloppe n°3.
J’avais droit à une pause au cours de laquelle je devais commander une boisson alcoolisée et la payer avec le billet qui était joint. Je me dépêchai de me rendre au bar pour modifier ma commande et je sortis le billet de l’enveloppe. Je découvris alors que ce dernier portait une inscription : “je suis une petite chienne nue sous mon manteau et mon maître m’a donné ce billet pour payer ma commande”. Je retournai le billet, mais il était inscrit “attention, information au dos”. J’étais bel et bien coincée... Je tendis le billet au serveur avec l’espoir qu’il ne remarque rien. Malheureusement, il lut l’inscription et me demanda avec un sourire : “c’est à vous ce billet ?”. Je répondis le plus naturellement possible : “ oui, c’est un commerçant qui me l’a donné. Il se passe de drôles de choses dans cette ville, n’est-ce pas ?”. Je ne crois pas l’avoir convaincu mais j’avais sauvé la face.
Après cette petite pause, je devais me rendre devant la préfecture et ouvrir l’enveloppe n°4. J’y découvris un tas de petits bouts de papier : je devais reconstituer le puzzle pour y lire les informations. Il y avait beaucoup de vent, aussi, lorsque mon maître passa devant moi, je lui demandai la permission de m’installer dans un café pour faire mon puzzle. J’avais 15 mn pour reconstituer la lettre n°4 mais cela me prit beaucoup plus de temps. Il y avait des tas de bouts de papier et j’avais l’impression que rien ne correspondait à rien. Je finis par assembler quelques bribes de phrases : je devais me rendre devant une boutique “cow-boy” où l’on vendait des bottes.

Arrivée à la boutique, après avoir parcouru une bonne distance avec mes talons (je commençais à fatiguer, et en plus, il y avait un monde fou en ville ce jour là), j’ouvris l’enveloppe n°5. Je devais entrer dans le magasin et demander à ce que l’on me perce l’oreille de mon choix. Le nombre de trous (5) était indiqué en base 3 à l’aide d’un code de lettres que je devais déchiffrer. Facile de calculer une base 3 en plein centre ville avec un gros sac rempli de vêtements et des gens qui passent et n’hésitent pas à vous bousculer ! Bref, je rentrai dans le magasin et demandai mes 5 trous à l’oreille droite (finalement j’aurais peut être préféré la gauche mais bon, c’est fait...). Le vendeur était très sympa et me dit que j’étais courageuse. Bof... Nous décidâmes des boucles et de l’endroit de chacune. Puis il saisit son pistolet. Je ressentis une vive douleur à chaque trou mais elle s’estompait très rapidement. A ma sortie du magasin, je ne sentais plus rien déjà mais j’avais l’oreille toute rouge...

J’étais fatiguée : le stress, ces talons très hauts, cette course à travers la ville. C’était amusant mais épuisant physiquement et moralement (j’étais toujours nue sous mon manteau)...
Bref, je m’arrêtai deux minutes pour chercher l’enveloppe n°6 qui était au fond de mon sac. A ce moment là, un jeune homme à l’accent allemand (ou dans ce genre) s’arrêta à ma hauteur et s’adressa à moi “Je peux vous poser une question ? Est-ce que vous portez quelque chose sous votre manteau ?”. J’étais abasourdie. Comment pouvait-il savoir ? Je pensais alors que c’était mon maître qui avait demandé au jeune homme de s’adresser à moi de la sorte. Je lui répondis froidement que, oui, je portais quelque chose. Loin d’être gêné, le jeune homme poursuivit en me demandant si je pouvais ouvrir mon manteau. Je lui répondis qu’il faisait froid et que je ne le souhaitais pas. Puis ayant trouvé mon enveloppe, je continuais mon parcours. Alors que je m’apprêtais à me rendre dans une boutique de lingerie où je devais essayer une guêpière, je m’aperçus que le jeune homme me suivait. Je me trouvais alors dans une petite rue peu passante et le soir commençait à tomber. Je me dis alors que ce n’était peut être pas prévu dans le scénario et décidai d’utiliser mon joker pour demander confirmation à mon maître. Je lui dis qu’un jeune homme me suivait et lui demandais si cela était prévu. Un vent de panique m’envahit lorsqu’il me dit que non, il n’avait demandé à personne de me suivre. Je lui demandai du secours et nous nous donnâmes rendez-vous dans un café à cent mètres de là. J’avais eu très peur et mon maître m’accorda une pose. Nous nous réchauffâmes avec un bon maragogype.
Comme l’heure était déjà bien avancée, mon maître me dispensa de l’épreuve n°6 et me demanda de passer directement à la 7. La feuille de route n°7 comportait un message codé (chaque lettre devait être remplacée par celle qui la précédait dans l’alphabet). Je devais trouver un moyen de me maquiller très précisément (rouge à lèvres, crayon à lèvre, fard...) en une 1/2 heure. Je me rendis donc dans la boutique de beauté la plus proche et achetai le matériel nécessaire. Puis je me rendis dans un café pour me maquiller. Lorsque je sortis des toilettes, je trouvais mon maître attablé devant un apéritif. Il me demanda de le rejoindre. Là, il me prit en photo et me dit qu’il était très fier de moi. Je m’étais très bien conduite aujourd’hui et il était ravi que j’ai effectué toutes mes missions avec succès. Pour l’instant j’avais gagné tous mes points.

Vu l’heure tardive, il me dit que nous allions abandonner les épreuves 9 et 10 et donc que je n’avais plus qu’une ultime mission à accomplir. En sa présence, j’ouvris donc l’enveloppe n°8. J’ouvris des yeux tout ronds : je devais me rendre dans un sex-shop (je précise qu’à ce moment-là, je n’étais jamais rentrée dans ce genre d’endroit). Je devais regarder les vêtements, en essayer, me renseigner sur les endroits “chauds” de la région, discuter des godemichés avec le vendeur et enfin acheter et placer en moi des boules de geishas. Je m’écriais que mon maître était fou, que je n’y arriverais jamais, que je ne voulais pas de ces boules en moi, que je ne savais même pas à quoi ça ressemblait. Bref, je refusai en bloc cette mission qui me semblait vraiment au dessus de mes forces. J’essayai de négocier auprès de mon maître. Après une 1/2 heure de discussion, nous tombâmes d’accord. Il venait avec moi au sex-shop, je remplissais ma mission mais je mettrais les boules plus tard. C’était déjà très difficile pour moi et je ne m’imaginais vraiment pas demander des renseignements sur les godemichés. Nous nous mîmes d’accord sur le fait que je devais prononcer 5 fois le mot “godemiché”. Finalement, le vendeur me sembla sympathique et pas du tout comme je l’imaginais (je m’imaginais un vieux vicieux, ...). J’errais quelques minutes dans la boutique et me décidais finalement à m’adresser au vendeur. Je me renseignais d’abord sur les boules de geisha dont il me narra les différentes matières et tailles. Je portais mon choix sur des boules de taille moyenne couleur bois. Puis, je lui dis que je devais faire un cadeau et je l’interrogeais sur les godemichés. J’étais très mal à l’aise... Ma mission accomplie, mon maître m’informa que l’heure de la récompense était arrivée.
Il avait réservé une table dans un très bon restaurant !! J’étais épuisée mais nous dînames avec entrain et je racontais à mon maître toutes mes aventures (il les avait suivies de loin et voulait connaître mes impressions). J’étais ravie de cette journée et mis à part la dernière mission qui m’avait parue vraiment difficile et le passage du jeune garçon qui me suivait, j’avais passé une très bonne journée.

Laïka raconte
L'apprentissage du vouvoiement
(30.10.2000)

epuis le 10 octobre dernier, Laïka doit vouvoyer son maître pendant les séances de domination. Ce qui lui est très difficile étant donné l'ancienneté du tutoiement.

Je dois dire que j’ai vraiment beaucoup de mal à vouvoyer mon maître. En ce moment, mon maître me donne une punition chaque fois que je le tutoie (un coup de cravache à chaque “tu”). Ça commence à faire beaucoup, et pourtant, je ne m’y fais pas...

Pour m’aider on a décidé que pendant trois jours, le week-end, je devais le vouvoyer du matin au soir. C’est très difficile. Je dois tourner les phrases dans ma tête chaque fois que je m’adresse à lui, et bien souvent, je le tutoie sans même m’en rendre compte. J’ai l’impression que lorsque je le vouvoie, cela met une sorte de distance entre nous, une sorte de mur infranchissable, un écran transparent.

Je n’aime pas cette idée. Je n’ai pas trop de mal à le vouvoyer pendant les séances de domination parce qu’à ce moment là, il est mon maître : ma soumission, mes poses, ses vêtements, le ton qu’il emploie parviennent à me mettre dans l’ambiance. Mais dans la vie quotidienne, c’est beaucoup plus difficile. Par exemple, lorsque je lui demande ce qu’il souhaite pour dîner, s’il veut boire quelque chose, s’il est allé chercher le pain...

Je crois que j’ai encore du mal à le considérer comme mon maître en dehors de nos séances de domination. En même temps, je crois que c’est une forme de résistance de ma part, une façon de lui dire que j’accepte d’être sa soumise à certains moments mais que je ne souhaite pas l’être 24h sur 24. C’est peut-être et sans doute aussi, du au fait qu’en ce moment, j’ai besoin de remonter “mon ego”. Etre soumise, c'est très cérébral. Il faut être sûre de soi, de sa valeur en tant qu’individu pour accepter d’être l’esclave de l’autre. Je crois que dans la période actuelle, je ne suis pas suffisamment sûre de moi et j’ai besoin qu’il me reconnaisse en tant que personne et non seulement en tant que soumise. Je suis consciente que c’est une période particulière et que ce besoin n’a rien à voir avec ma soumission en tant que telle.

Bon toujours est-il que c’est un véritable effort de chaque seconde. Mais par amour pour mon maître et parce que je veux être totalement à lui, parce que je souhaite que notre relation soit à la hauteur de ce que nous ressentons l’un pour l’autre, je fais cet effort avec, je dois bien l’avouer, encore beaucoup de ratés. Mais je m’améliore et chaque jour, les punitions diminuent...un peu.

Laïka raconte
Séance de photos à la campagne
(26.10.2000)

n jour que nous nous promenions en voiture, mon maître me proposa une séance de photos bucoliques. J'étais partante, mais c'est parfois plus facile à dire qu'à faire.

Malheureusement, la campagne, c’est plus ce que c’était ! Impossible de trouver un coin tranquille. Dès que nous apercevions un chemin, un tracteur apparaissait, ou bien une maison, ou encore une voiture déjà garée (peut-être pour le même jeu que nous). Bref, nous dûmes faire plusieurs kilomètres avant de découvrir un petit chemin ombragé et tranquille.

Mon maître me demanda de me déshabiller et de revêtir mon corset en cuir et mes talons aiguille. J’avais une peur bleue de me faire surprendre dans une telle tenue ! Je sortis de la voiture et m’aperçus alors que le terrain était légèrement humide. Mes talons s’enfonçaient dans la terre et je dus me mettre sur la pointe des pieds pour éviter de me retrouver avec des sabots.

Commença alors la séance de pose. Alors que j’étais suspendue, dos à l’objectif, aux branches d’un arbre, mon maître me prévint “attention, je crois que quelqu’un arrive !”. Je lachai immédiatement mes branches et me retournai : personne en vue, ce n‘était qu’une blague ! J’avais eu très peur...

Mon maître me demanda ensuite de m’allonger sur la voiture : c’était très froid et le soleil commençait à se coucher. Je tremblais de peur et de froid et cette drôle de sensation me plaisait en même temps... Me faire photographier en plein air, en risquant de se faire surprendre à chaque moment, c’était vraiment extraordinaire et très excitant.

Mon maître et moi sommes actuellement à la recherche de lieux originaux pour faire ce type de photos. J’adorerais trouver dans notre région de Montpellier une vieille usine désaffectée ou un château abandonné, en ruines,... Bref des lieux permettant de mettre en valeur ma nudité pour vous offrir de belles photos sur le site mais aussi des lieux un peu froids, métalliques, glaçants, qui entretiennent ma peur et qui rendent ainsi nos photos plus réelles, moins posées...

Laïka raconte
A Marseille, pour
l'anniversaire d'un soumis
(22.10.2000)

e week-end, mon maître et moi étions invités par

un couple d’amis SM, F. et I., un jeune et beau

couple d'Aix en Provence à l’anniversaire d’un ami

soumis à Marseille.

Vendredi, vers 21 heures, en compagnie de nos amis,

nous sommes allés chercher P. à la sortie de son travail.

 P. est un homme d’une soixantaine d’années, très bien

conservé, et d’esprit très jeune. Ils nous a tout de suite

paru sympathique. Dans la voiture, P. s’est placé entre

 moi et I. Nous étions toutes les deux vêtues d’un corset,

 de chaussures à haut talons et d’un long manteau. P.

était habillé “normalement”. N., mon maître, et F. étaient

 vêtus de pantalons de cuir et de hauts en vinyle.

Mon maître portait en outre une magnifique casquette

 de dominateur et une cravache.

Nous nous sommes rendus chez un autre couple où

 se tenait la soirée. L’appartement de S. et J. était

superbe. Nous avons été accueillis dans un grand

salon, éclairé à la bougie et décoré de larges

canapés en cuir. S. et J. forment un jeune couple,

plus échangiste que SM, mais J. adore se faire

dominer par sa femme. S était vêtue d’un corset et

d’un long manteau transparent, et J. portait un

pantalon de cuir.

Lors de l’apéritif, I. et moi avons successivement fait

le service, à genou, seulement vêtues de nos corsets

et de nos superbes talons aiguilles.

Nous nous déplacions d’un invité à l’autre avec un

 plateau ou des verres contenant du champagne.

J. et P. se sont habillés (ou plutôt déshabillés) et

ont revêtu leurs tenues de soumis (nus avec des

 poignets de cuir et leur collier de chien). J. et P.

ont ensuite servi le repas au cours duquel nos                                       

 jeux ont commencé. La table en verre fumé permettait

à chacun d’observer ce qui se passait en dessous...

Mon maître m’a demandé d’écarter les jambes afin que

chacun puisse me voir ouverte. P. s’est mis à genou

auprès de F. et s’est conduit en parfait soumis en

 commençant à le sucer. Alors que nous étions

dans la cuisine pour une séance de photos,

mon maître et moi avons fait plus ample

connaissance avec P. C’est vraiment quelqu’un

de sympathique qui aime se faire dominer par de

jeunes couples. Malheureusement, il semble que

ce ne soit pas facile à trouver... Il nous a parlé de

 ce qu’il aimait, de sa longue relation avec F.,

son dominateur, et avec J. A notre retour au salon,

S. s’occupait de J. en lui introduisant des boules

de geisha dans le cul, et F. fouettait I. avec

enthousiasme. Il a fait mettre P. à ses pieds et les

 a dominés tous les deux. Il a demandé à I. d’enlever

 le slip de P. avec ses dents ce qu’elle a exécuté

 parfaitement. Mon maître a alors commencé à

me bondager sévèrement. J’étais à quatre pattes,

la tête posée sur un canapé. Il m’a lié les mains et

 les jambes dans une position très inconfortable.

J’avais les mains liées derrière le dos et les pieds

 attachés très haut sur les fesses. C’était, paraît-il,

magnifique... Au bout d’une vingtaine de minutes,

 j’avais très mal et je lui demandais grâce.

Il me détacha lentement.

 

Ensuite tous les soumis (moi, I et P.) furent

mis côte à côte et l’on commença un nouveau

 jeu qui consistait à reconnaître à qui appartenait

le fouet qui nous punissait et qui donnait les coups.

 A chaque erreur, nous étions punis à la bougie.

Ce n’est qu’au bout du 6ème tour que P. trouva

la bonne réponse. Alors que les deux autres soumis

ne bronchaient pas, je me tortillais de douleur à chaque

 coulée de bougie. Ce fut très douloureux pour moi.

Je pris alors conscience que j’étais encore une jeune

soumise et qu’un long chemin m’attendais avant de

 devenir la parfaite chienne de mon maître.

Pour nous récompenser, nous eûmes le droit de

 servir le dessert à nos maîtres. Cette petite pose

nous réconforta.
Il était l’heure d’offrir son cadeau à P. Chacun

d’entre nous devait lui donner 10 coups de fouet

ou de cravache. P. ne bougea pas jusqu’à ce que

 mon maître saisisse la cravache. P. commença

alors à se trémousser. Puis, F. poursuivit la punition

 avec une ceinture de cuir très large. P. émit alors

de petits cris de douleur. Ayant reçu son cadeau,

P. nous remercia tous. De jolies marques ornaient

son cul et P. était très fier. Après avoir échangé nos

coordonnées, nous prîmes congé de nos hôtes vers

 4 heures du matin, épuisés mais ravis de cette soirée...

pourquoi me diriez vous

et bien je connais une soumise (océane) qui trompe son Maitre ( David)

je pense que cette soumise merite d etre punie

mais je demande l avis de tous

et bien que vous sugerez une punition a la haute de la faute

car je pense qu elle est tres grande

donc soyez severe et envoiez vos punition sur un commentaire ou bien sur mon adresse mail si tres grand

ps:    s280@hotmail.fr

 
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