Laïka raconte |
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![]() Cela nous a pris, comme d'habitude, sur un coup de tête. Nous sommes allés acheter une tente et en route pour l'aventure ! |
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Arrivés sur place, nous nous sommes immédiatement mis nus : un vrai bonheur ! Je crois que c'est ce que j'apprécie le plus dans ce camp : pouvoir se promener nu du matin au soir sans que personne ne vous ennuie. Une fois notre place au camping réservée, nous avons entrepris de monter la tente. Nous n'étions pas vraiment équipés et un voisin sympathique nous a prêté un marteau pour enfoncer nos sardines. Nous allâmes nous changer : j'enfilais des bas résille, mon serre-taille, un petit haut en cuir, et des talons aiguilles. Mon maître se paraît d'un joli petit short en vinyle, d'un tee-shirt transparent et de bottes en cuir. Nous étions superbes ! Avant le départ, mon maître m'attacha un collier de chien autour du cou et des menottes en cuir. Il m'attacha à une laisse et nous étions prêts. Le repas terminé, notre ami nous entraîna dans un bar dont il connaissait bien les patrons. L'ambiance était torride : un groupe de néerlandais se frottait les uns contre les autres au rythme d'une sono endiablée. Après nous avoir servi une de ces boissons aphrodisiaques, le jeune serveur monta sur le bar pour un défilé très hot. Nous discutâmes avec la patronne, très sympathique. "Pour m'empêcher de m'échapper", mon maître avait attaché ma laisse au barreau de la chaise. Les gens me regardaient avec un sourire de sympathie et d'admiration. Mon maître était fier de moi. J'avais les mains attachées derrière le dos et mon maître me faisait boire doucement. De temps en temps, il me détachait pour que je puisse fumer une cigarette mais je devais, chaque fois, lui en demander l'autorisation. C'était assez difficile pour une grande fumeuse comme moi ! Après un matin câlin, nous descendîmes pendre le petit-déjeuner dans un café au bord de la plage. Le soleil tapait déjà fort et notre ami ne tarda pas à nous rejoindre. J'appréciais énormément d'être nue, c'était un sentiment de liberté totale bien que je doive me soumettre à quelques règles que m'avait données mon maître. Ainsi, je devais lui demander l'autorisation d'aller aux toilettes, de fumer, je devais aussi le vouvoyer. Arrivés sous la douche, nous constatâmes, qu'effectivement, le soleil avait tapé... et particulièrement sur les fesses. Fatigués par notre long bain, nous décidâmes de passer une soirée tranquille car nous avions prévu de sortir en donjon le lendemain. Nous passâmes l'après-midi à la plage puis nous nous préparâmes pour la soirée. Ensuite, nous montâmes tous dans la salle du haut et mon maître m'attacha les mains à un palan. Il plaça une barre d'écartement entre mes jambes et me bâillonna. Je l'avais supplié de ne pas frapper trop fort car j'avais de terribles coups de soleil sur les fesses. Mais, juste avant de commencer ma punition, il me regarda droit dans les yeux en me rappelant mes erreurs de la semaine. Je sus alors que j'allais avoir mal et qu'il ne tiendrait pas compte des coups de soleil. Il commença à me fouetter avec notre fouet doux, puis très vite, il attrapa des fouets beaucoup plus durs dont un très court et très dur. Je hurlais sous mon bâillon mais ne sortait qu'un cri étouffé... Je lui en voulais mais en même temps, je savais que je méritais cette punition. En outre, mon maître voulait montrer ma résistance au couple qui nous accompagnait. A la fin de la séance, j'embrassais les bottes de mon maître en lui lançant un sec "merci maître". Il sentit que je lui en voulais et me prit dans ses bras pour me consoler. Le couple était impressionné... Nous parlâmes longtemps ensuite de la façon dont nous étions venus au SM, de nos pratiques... Après un dernier verre avec la maîtresse des lieux, nous rejoignîmes notre camping. J'avais les fesses en feu mais épuisée, je m'endormis immédiatement. |